Le Travel Hacking est sûrement la méthode la plus connue pour économiser sur toutes vos dépenses de voyages :
Voyager n’est pas gratuit. Cependant, le travel hacking rend la facture beaucoup moins douloureuse.
Le travel hacking est une pratique pour mettre à profit ses points et milles accumulés dans différents programmes de fidélité, dans le but de voyager en économisant.
Ce n’est donc pas, comme son nom pourrait le laisser paraître, quelque chose d’illégal. Mais pour s’adonner à la pratique du travel hacking, il est nécessaire d’en comprendre les règles de bases afin de devenir, vous aussi, un vrai travel hacker.
Être travel hacker, c’est se fixer des objectifs !
On ne commence pas à accumuler des points sans objectif(s) précis :
Une fois les objectifs définis, on se lance dans l’apprentissage.
Le web fournit de nombreuses ressources anglophones sur le sujet du travel hacking.
Milesopedia est la SEULE source d’information fiable francophone canadienne sur le sujet depuis 2015. Et surtout, milesopedia dispose de la plus grande communauté de travel hackers au Canada via son groupe Facebook !
Vous êtes donc à la bonne place pour apprendre sur chacun des programmes de fidélité qui existent au Canada ! Pour cela, on vous conseille de commencer par le guide du débutant, et notamment les nombreux articles identifiés par sujet.
Être travel hacker, c’est être prévoyant pour ses dépenses personnelles (et/ou professionnelles) pour l’année à venir.
Nous avons tous des vies différentes, cependant il y a des frais annuels qui rejoignent :
Voici un article garni d’astuces pour vous aider à améliorer vos gains de points.
Être travel hacker, c’est savoir calculer.
Il existe de nombreuses cartes de crédit sans frais annuels. Mais sont-elles réellement avantageuses ?
Bien des cartes de crédit avec une cotisation annuelle de 120 $, 399 $ voire même 699 $ vont permettre au travel hacker d’économiser bien plus sur ses voyages… que celui qui ne jure que par le sans frais. Pourtant, plusieurs ont des promotions en cours d’année, avec la première année gratuite.
Une famille de travel hackers comme la nôtre (10 ans de pratique…) peut porter 2 000 $ en souscriptions de cartes de crédit dans une année. Mais celles-ci vont nous permettre d’économiser 5 000 – 10 000 $ voire 20 000 $ sur nos voyages familiaux de l’année !
Une carte qui coûte 120 $, mais qui vous permet d’économiser sur 4 à 15 nuits d’hôtel par an, n’est-ce pas intéressant ?
Pour nous, la ligne « frais annuels » d’une carte de crédit est donc plutôt perçue comme « dépenses de voyages ». On préfère la rentabilité.
Être travel hacker, c’est établir un plan de match.
Le plan de match sera nettement facilité une fois que :
À ce moment-là, le plan de match devient limpide :
Être travel hacker, c’est être responsable de ses finances personnelles.
Pour devenir travel hacker (et surtout le rester pendant de nombreuses années), on ne s’endette pas sur les cartes de crédit.
C’est la règle d’or du travel hacking. Chacun doit y aller à son rythme.
Si vous ne pouvez porter que 500 $ par mois sur une carte de crédit (et surtout la rembourser intégralement chaque mois), vous ne devriez pas souscrire à une carte de crédit vous demandant de dépenser 5 000 $ en 3 mois alors que vous n’en avez pas les moyens.
De même, on évite de dévier de son plan de match en souscrivant à n’importe quelle offre qui passe.
Le travel hacking est un marathon, pas un sprint !
Contrairement à une idée reçue, le travel hacking ne nuit pas au dossier de crédit… à condition de faire les choses correctement !
Être travel hacker, c’est aider des travel hackers en herbe !
À force de lire et d’apprendre, vous devenez vous aussi un expert des programmes de fidélité et partagez vos connaissances avec la communauté.
Être travel hacker, c’est faire preuve de discrétion.
Tout ce qui pourrait faire éveiller les soupçons sur une attitude anormale, c’est risquer de mettre fin à un avantage que la communauté du travel hacking utilise !
Par exemple, on ne souscrit pas à une carte de crédit pour l’annuler tout juste après avoir obtenu la prime de bienvenue. Normalement, on garde les cartes de crédit pendant une année et on ré-évalue leur utilité au moment du renouvellement.
Certaines cartes méritent d’être conservées pour les avantages qu’elles procurent, alors que d’autres pourront être annulées.
Ou encore, on n’appelle pas l’émetteur d’une carte de crédit si l’on n’a pas encore reçu le bonus promis… alors que l’on sait que l’on n’y a peut-être pas droit !
Mais surtout, lorsqu’une faille paraît évidente, on ne le crie pas sur les toits.
Nul besoin de gagner 6 chiffres par année ou de dépenser des milliers de dollars par mois pour devenir un travel hacker. Juste être plus futé que les autres.
Vous êtes intéressés par le sujet du travel hacking ? Rejoignez la communauté Facebook du travel hacking au Canada !
Les économies, c’est par ici :