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C’est un vol pour un séjour court en France, j’avais expliqué dans un billet précédent comment je suis arrivé à ce trajet somme toute assez simple. Voici donc le premier segment.
Après Washington le mois dernier, c’est pour des raisons familiales que je rentre en France le temps d’une longue fin de semaine. Ce flight report n’aura rien de glamour, pour cela il faudra attendre la semaine prochaine avec le voyage de Jean-Maximilien en Première classe. Mais on veut partager toutes nos expériences de voyages, les exceptionnelles comme les plus ordinaires 🙂
Comme je l’avais expliqué dans mon billet sur la recherche de ce vol, je me suis tourné vers Air Transat pour la flexibilité des villes desservies directement. Bordeaux et Toulouse étant proches de ma destination, des vols directs vers ces deux villes avaient un gros attrait pour un séjour de 4 jours.
Je suis arrivé à l’aéroport avec la navette 747. Celle-ci prend plus de temps à rejoindre Pierre Elliott Trudeau avec tous les travaux dans cette partie de l’île. Il m’a fallu une bonne heure depuis le quartier Mile-Ex pour arriver à destination.
Je n’avais pas de bagage à enregistrer, je suis donc allé directement vers le contrôle de sécurité où l’attente était de 20 minutes. Grâce à la carte TD VISA Infinite Privilège j’ai pu utiliser le coupe-file et 5 minutes après j’étais « airside ».
Il était temps de faire un peu de « spotting ».
Mon adhésion à Priority Pass attachée à ma carte American Express de Platine me donne accès au salon Mastercard Banque Nationale. Pas des plus élégants, il est toutefois bien fourni en alcool et à une offre décente de nourriture. Par contre il est très achalandé.
Il était temps de partir vers la porte 63 d’où partait mon vol. Les priorités ont été scrupuleusement respectées (Classe Club, les personnes ayant acheté un Pass Option Plus). L’embarquement s’est terminé à l’heure, le commandant nous indiquant un temps de vol de 6h50, relativement long. C’est vrai que pendant le vol, les vitesses affichées n’étaient pas stellaires.
La cabine est relativement neuve, mais l’absence de séparation donne vraiment un côté hangar.
Le siège est confortable. J’ai acheté une trousse de confort qui contient une couverture, un oreiller gonflable pour le cou et un masque pour 10$ (7euros). On peut aussi acheter lors de la réservation un Pass « Options Plus » qui contient:
Cette option coûte entre 100 et 200$ aller-retour selon la destination et du siège choisi.
Le repas est servi 1h30 après le décollage après un apéritif (payant pour les boissons alcoolisées). La nourriture est vraiment le point faible d’Air Transat. Tout cela ne donne pas très envie. C’est vite digéré: un sandwich et un biscuit!
Le personnel a été vraiment très agréable: présent, en faisant des annonces appropriées aux bons moments.
La cabine profite d’un éclairage moderne, cela fait moins mal aux yeux que les anciennes lumières style néon cabinet dentaire.
Une heure avant l’arrivée une collation est servie. Là aussi on est loin d’un déjeuner complet…
Nous sommes arrivés à l’heure à Bordeaux-Mérignac. De là j’ai pris le bus qui relie l’aéroport à la gare de train pour 1,5 euros. C’est moins cher que la navette qui existait avant mais beaucoup plus long.
Oui le vol direct est vraiment très pratique, la cabine est assez moderne avec un IFE qui tient la route. Mais la nourriture est vraiment le point faible d’Air Transat. C’est dommage car le personnel a été très agréable.
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