Après un court-séjour à Paris, me voici en direction de Nice. J’ai choisi de voyager à bord d’EasyJet, tant pour l’aller que pour le retour vu les tarifs pratiqués:
J’ai choisi de payer pour l’option du choix du siège (entre les rangées 2 et 6), ce qui me permet:
Et bien sûr, vu que la transaction est effectuée en euros, j’ai utilisé ma Carte Mastercard HSBC World Elite:
C’est d’ailleurs ce crédit annuel de 100 $ que je décide d’appliquer sur une majeure partie de cette dépense de billets d’avion!
Si vous n’avez pas encore cette carte, je vous la recommande fortement, d’autant que celle-ci est en promotion pour un temps limité!
Je suis déposé par une amie à l’Aéroport de Paris Orly, Terminal 3. Une petite file d’attente devant l’aérogare: toutes les personnes portent leur masque compte tenu de la pandémie COVID-19.
À l’entrée de l’aérogare, aucun contrôle de température. Toutefois, un rappel des règles sanitaires en vigueur:
Il est possible d’effectuer son enregistrement via des bornes automatiques. L’ayant déjà fait sur mon téléphone, et n’ayant pas de bagage à enregistrer, je me rends directement au contrôle de sécurité.
Un marquage au sol est présent pour tenter de faire respecter la distanciation sociale. Mais les français n’aiment pas vraiment les files d’attente et ont tendance à « s’aglutiner ».
Avant d’atteindre la sécurité, de grands comptoirs et poubelles vous permettent de vider vos sacs des objets interdits en cabine.
Pour rejoindre la sécurité, il est nécessaire de scanner sa carte d’embarquement.
La signalétique est bien présente partout dans l’aérogare.
Pour emplir les bacs de sécurité, difficile de maintenir une distanciation sociale, les agents nous invitant à nous aligner sur les flèches au sol…
Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir de la place en matière de contrôle de sécurité. On comprend que le personnel est en nombre réduit, l’aéroport préférant ainsi n’ouvrir que quelques files.
Direction maintenant les salles d’embarquement, avec un passage obligé au Duty Free, naturellement ouvert, comme la plupart des boutiques d’ailleurs.
Par contre, aucun salon n’est ouvert: je décide d’aller m’Acheter un sandwich dans l’espace de restauration. Là-aussi, les marquages au sol indiquent le sens de la circulation, mais ne sont pas forcément respectés.
Les tables sont disposées de manière à faire respecter la distanciation sociale et sont régulièrement nettoyées. Le Wi-Fi est gratuit, pratique pour rattraper quelques courriels.
Avant de rejoindre ma salle d’embarquement, un petit détour par les toilettes. Rien à redire, tout est parfaitement propre et régulièrement désinfecté visiblement.
Ma salle d’embarquement est de l’autre côté de l’aérogare, aux portes C. C’est une traversée du désert qui commence, on apprécie la décoration au passage. Je t’aime aussi Paris!
Voici mon appareil EasyJet qui attend patiemment à la porte. Petite publicité au passage pour HSBC, comme dans tous les aéroports dans le monde!
La salle d’embarquement est plutôt bien achalandée, mais un siège d’écart est maintenu entre chaque personne. Et la plupart des gens respectent le port du masque.
Ayant l’option Speedy Boarding, j’embaque dans les premiers, ce qui m’évite de rester trop longtemps dans cette salle d’embarquement.
Par contre, comme bien souvent avec cette option, EasyJet vous fait patienter dans le couloir (et ici au chaud avec une température de 34 degrès ce jour-là à Paris) pendant de longues minutes.
Au moins, cela permet de prendre des vues de l’appareil et de constater que l’embarquement se fera aussi par le fond de la cabine depuis une passerelle.
La cabine sent le propre. Cet appareil est présent à cette porte depuis de longues heures, ce qui a sans doute permis un nettoyage approfondi.
Comme toujours, ma valise Away (Bigger Carry-On) rentre parfaitement dans le coffre à bagages.
Les sièges sont au format slim. Ce ne sont pas les plus confortables sur le marché, mais ils font l’affaire pour 1-2 heures de vol (comme la plupart des vols EasyJet en Europe).
L’espace aux jambes est identique dans toute la cabine (sauf bien sûr pour le premier rang et les rangées aux issues de secours). Et c’est tout à fait acceptable pour une personne d’1,80 m comme moi.
Ce vol vers Nice est quasiment complet. Aucun produit sanitaire n’est offert, même pas une lingette désinfectante.
Le tarmac d’Orly offre des vues sur des appareils de Corsair, French bee (compagnie long courrier à bas coûts) et Transavia. On décolle à l’heure de la piste 07.
Le temps est magnifique en ce milieu de mois de septembre, ce qui offre de très belles vues sur la région parisienne et la campagne francaise.
Pendant ce court vol, un service minimum de boissons et snacks (payants) est proposé. Après moins d’une heure de vol, on commence à apercevoir la Méditerranée, en limite du Var et des Alpes-Maritimes.
Je ne me lasserai jamais de ces vues de ma région d’enfance.
On survole Mandelieu, puis Cannes et Antibes avant d’arriver à l’heure sur Nice.
Un vol classique entre Paris et Nice à bord d’Easyjet, sauf que nous sommes en période de pandémie.
L’appareil semblait propre (un bon point), mais la distribution d’au moins une lingette désinfectante aurait été appréciée.
Les économies, c’est par ici :