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L’objectif principal de ce voyage était de nous retrouver entre amis pour souligner des anniversaires dans une destination exotique. Le choix s’est arrêté sur Marrakech, au Maroc. Comme nous ne disposions que d’une courte fenêtre de trois jours sur place, notre priorité était claire : réduire au minimum le temps consacré aux déplacements afin de maximiser le temps passé avec nos amis.
Dans ce contexte, Air Transat représentait l’option idéale puisqu’il s’agit du seul transporteur à proposer, en saison, une liaison directe entre Montréal et Marrakech. À l’été 2024, la compagnie a d’ailleurs ajouté Marrakech à son réseau, avec deux vols hebdomadaires : départs de Montréal le mercredi et le samedi, et retours de Marrakech le jeudi et le dimanche. Cet horaire correspondait parfaitement à notre plan, puisqu’il nous permettait d’arriver tôt le jeudi matin et de repartir le dimanche, optimisant ainsi notre court séjour.
Pour ce voyage, nous avons volontairement choisi la classe Éco Standard jugeant que la Classe Club, l’équivalent d’une classe affaires sur ce type de vol, n’était pas nécessaire dans le cadre d’un séjour aussi court. Comme Air Transat ne dispose pas encore de son propre programme de fidélité, nous avons acheté nos billets au comptant. Toutefois, plusieurs programmes de récompenses permettent de rembourser ce type d’achat porté sur une carte de crédit, notamment celui de la Banque Nationale, ce qui rend l’expérience plus avantageuse pour les voyageurs d’Air Transat.
Enfin, il est intéressant de souligner la coentreprise lancée entre Air Transat et Porter. Celle-ci élargit considérablement le réseau accessible aux voyageurs et offre de nouvelles opportunités de fidélisation : les membres VIPorter peuvent désormais échanger leurs points avec Air Transat ainsi qu’avec Alaska Airlines, et bientôt American Airlines.
Les membres VIPorter peuvent accumuler des points avec leur carte de crédit BMO VIPorter Mastercard®* et les utiliser pour des vols avec Air Transat et Alaska Airlines.
Notez que vous pouvez également utiliser les points de récompenses voyages de cartes de crédit comme la Carte Mastercard World Elite de la Banque Nationale ainsi que le crédit voyage annuel de 150 $ afin de couvrir en partie ou en totalité votre vol.
Voici l’offre de bienvenue disponible actuellement pour cette carte :
Fidèles à nos habitudes, nous sommes arrivés un peu à l’avance à l’aéroport Montréal–Trudeau afin de profiter de l’un des salons de la zone internationale. Nous en avons profité pour visiter le tout nouveau Salon Aspire de la zone internationale. Vous pouvez d’ailleurs lire notre avis détaillé à ce sujet :
Nos vols aller et retour entre Montréal et Marrakech ont été opérés par le même Airbus A330‑200 (C‑GUFR), un appareil initialement mis en service en 1999 et modernisé par Air Transat en 2019. Malgré ces améliorations, on sent bien que l’appareil n’est pas jeune.
La cabine Économie est aménagée en 3‑3‑3. Dès que l’on s’installe, on ressent immédiatement le manque d’espace : les allées étroites et la proximité avec ses voisins donnent l’impression de voyager un peu à l’étroit. Il faut constamment se serrer les coudes pour éviter les contacts, et chaque mouvement demande de la vigilance. Il m’est arrivé à plusieurs reprises de me faire accrocher par les passagers ou le personnel. Les accoudoirs fins offrent peu d’intimité et l’espace personnel est très limité, ce qui rend l’expérience assez inconfortable sur un vol transatlantique. On se sent enfermé dans une cabine fonctionnelle mais sans relief, avec un confort minimal et une impression d’étroitesse constante.
Le siège lui-même offre une inclinaison correcte et une assise stable, mais sans plus. L’écran tactile individuel est petit (à peine la largeur de deux passeports canadiens côte à côte), suffisant pour se distraire mais loin d’offrir une expérience immersive.
Dans l’ensemble, la cabine Économie de l’A330‑200 remplit sa fonction : transporter les passagers d’un point à un autre. Cependant, l’expérience globale a été sous le signe de la recherche constante d’une position confortable, donc peu agréable et certainement pas propice à la détente.
Le service à bord est correct et poli, mais sans élément marquant. Le personnel est attentif dans les moments essentiels, mais l’expérience reste assez conventionnelle, sans véritable touche personnalisée.
Côté repas, nous avons été un peu déçus.
À l’aller, sur un vol de nuit, le dîner consistait en un choix simple : lasagne au bœuf ou pâté chinois végétarien, accompagné d’un petit pain, d’une salade de carottes et d’un brownie. Une sélection de boissons sans frais, incluant le vin, était proposée. Avant l’atterrissage, une tranche de gâteau aux bananes était servie.
Au retour, bien que le vol soit de jour, l’éclairage tamisé et les hublots majoritairement fermés créaient une ambiance de vol de nuit. Le départ matinal (8 h) et les passagers cherchant à récupérer du sommeil expliquent probablement cette atmosphère. Le repas proposé comprenait un choix de poulet au riz, accompagné d’un pain, d’une salade de couscous et d’un petit gâteau aux noisettes, avec la même offre de boissons sans frais incluant le vin.
L’ambiance générale à bord était calme : le vol de nuit favorise naturellement le repos, et sur le vol de jour, l’éclairage tamisé contribue également à un environnement relaxant. L’expérience n’est pas particulièrement marquante, les repas étant le point le plus décevant.
L’expérience globale avec Air Transat sur la liaison directe Montréal–Marrakech en Éco Standard s’est révélée fonctionnelle mais sans grand éclat. Les vols aller et retour sont pratiques, rapides et évitent les escales, ce qui est indéniablement un atout pour un séjour court.
Cependant, la cabine Économie, étroite et peu confortable, et les repas relativement simples, limitent le plaisir du voyage. Le service est poli et efficace, mais reste basique, sans réelle personnalisation. En somme, ces vols directs remplissent leur rôle et permettent d’atteindre rapidement Marrakech, mais l’expérience à bord reste modeste et orientée sur la fonctionnalité plutôt que sur le confort ou la gastronomie.
Ce court séjour à Marrakech avait pour objectif de nous retrouver entre amis et de profiter pleinement de trois jours sur place. Malgré la durée limitée, nous avons exploré la Médina, fait du quad dans le désert et terminé notre aventure par une soirée traditionnelle au restaurant Comptoir Darna. Pour ceux qui souhaitent prolonger l’expérience ou préparer leur propre voyage, notre Guide du Maroc propose de nombreuses informations et conseils pratiques.
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