Après un séjour d’une semaine à Nice pour raisons familiales, me voici de retour vers Montréal via Paris Charles De Gaulle. Comme à l’aller, j’ai choisi de voyager à bord d’EasyJet, vu les tarifs pratiqués:
J’ai choisi de payer pour l’option du choix du siège (entre les rangées 2 et 6), ce qui me permet:
Et bien sûr, vu que la transaction est effectuée en euros, j’ai utilisé ma Carte Mastercard HSBC World Elite:
C’est d’ailleurs ce crédit annuel de 100 $ que je décide d’appliquer sur une majeure partie de cette dépense de billets d’avion!
Si vous n’avez pas encore cette carte, je vous la recommande fortement, d’autant que celle-ci est en promotion pour un temps limité!
Après un trajet de 30 minutes en Tramway depuis le centre-ville de Nice, me voici au Terminal 2 de l’Aéroport Nice Côte d’Azur (NCE).
À l’entrée de l’aérogare, aucun contrôle de température. Toutefois, un rappel des règles sanitaires en vigueur:
Il est possible d’effectuer son enregistrement via des bornes automatiques. L’ayant déjà fait sur mon téléphone, et n’ayant pas de bagage à enregistrer, je me rends directement au contrôle de sécurité.
Pour rejoindre la sécurité, il est nécessaire de scanner sa carte d’embarquement.
La signalétique est bien présente partout dans l’aérogare.
Direction maintenant ma porte d’embarquement, avec un passage obligé au Duty Free, naturellement ouvert, comme la plupart des boutiques d’ailleurs.
Le Terminal 2 parait bien vide en ce début de journée. Me voici proche de ma porte d’embarquement, baignée de lumière naturelle ce qui est bien agréable!
Toutes les options de restauration sont ouvertes, mais peu fréquentées.
La procédure d’embarquement est un peu cahotique avec, comme d’habitude, un attroupement de personnes qui ne comprennent pas les règles de distanciation sociale.
Bien que seuls les passagers disposant de l’option Speedy Boarding ait été appelés, environ 50 personnes se présentent simultanément.
Comme à l’aller, EasyJet nous fait patienter devant les baies vitrées. À vrai dire, l’appareil arrive à peine de Paris.
En moins de 10 minutes, celui-ci est vidé de ses passagers et nous sommes invités à monter à bord. Autant dire que l’on repassera pour la désinfection de l’appareil entre deux rotations…
Heureusement, l’appareil est moins plein qu’à l’aller et je dispose d’un siège entre ma voisine et moi.
Si vous souhaitez davantage de photos et commentaires sur la cabine d’EasyJet, je vous invite à consulter l’article de mon vol aller:
En moins de 10 minutes, l’embarquement est terminé et nous décollons à l’heure.
L’Aéroport Nice Côte d’Azur est sûrement l’un des aéroports dans le monde disposant de la plus belle approche qui soit! Que l’on y atterrisse ou l’on en décolle, ne manquez pas le spectacle!
Généralement, un conseil: pour un atterrissage à Nice, choisissez un siège à gauche (comme je l’ai fait à l’aller). Vous aurez ainsi de très belles vues de toute la Côte d’Azur (Var, Cannes, Antibes).
Et un siège à droite au décollage si vous allez vers un aéroport de France, l’avion effectuant un rapide virage à droite vous offrant par la suite les vues ci-dessous.
Bien évidemment, cela dépend des vents, mais généralement c’est cela!
Un vol classique entre Nice et Paris à bord d’Easyjet, sauf que nous sommes en période de pandémie.
Comme à l’aller, il me semble qu’Easyjet n’a pas mis en place de procédures sanitaires spéciales. Du moins, elles ne sont pas visibles d’un point de vue passager.
Disons que l’on en a pour son argent, ce vol m’ayant coûté moins de 60 €.
Les économies, c’est par ici :