Suite à notre passage dans le Canopy Lounge de l’Aéroport de Nice Côte d’Azur, nous embarquons à présent à destination d’Istanbul pour un vol d’une durée de 3 heures en classe affaires.
Pour tout savoir au sujet du processus de réservation de ce voyage constituant un « mini-tour du monde » avec les miles aéroplan, rendez-vous dans cet article.
Voyageant avec un billet « compliqué », impliquant de nombreuses compagnies aériennes ainsi qu’un stopover à Hong Kong et un bébé (toujours problématique dans une réservation), nous pouvions afficher notre réservation sur le site de Turkish Airlines… mais ne pouvions pas nous enregistrer.
Rendez-vous donc au comptoir d’enregistrement de Turkish Airlines de l’aéroport de Nice, avec une ligne prioritaire pour les voyageurs en classe affaires: aucune attente.
Turkish Airlines permet à ses passagers de passer par un contrôle de sécurité dédié… et donc plus rapide.
Une fois la sécurité et la douane passées, nous voici au sein du terminal de départ. Prêts à rejoindre le salon Canopy dont nous avons fait un reportage dans cet article.
Voyageant en classe affaires, nous embarquons dans les premiers.
L’appareil d’aujourd’hui est un Boeing 737-800.
Cet avion est composé de 16 places en classe affaires réparties en 4 rangées de 2 x 2 sièges.
Auparavant, en Europe, nous avions déjà pris différentes classes affaires : British Airways, Lufthansa ou encore Swiss. Toutes se ressemblaient : cabine économique et affaires sont identiques. La différence : en affaires, le siège du milieu est bloqué.
Ici, avec Turkish Airlines, cela ressemble plus à ce que l’on peut retrouver sur Air Canada… en beaucoup plus confortable.
L’éclairage de la cabine s’adapte en fonction de la luminosité extérieure et est très agréable (nous sommes loin des néons d’hôpitaux que nous avions pu observer sur Air Canada Rouge).
Le siège s’incline nettement en arrière, et dispose de repose-pieds très confortable et d’une fonction massage.
Écran et tablette sont inclus dans les accoudoirs.
Les 16 places de la cabine affaires seront occupées aujourd’hui.
L’écran est d’une très bonne qualité / résolution et est accompagné d’une télécommande faisant également office d’écran (nous avions déjà vu ce type de système sur la nouvelle classe affaires internationale d’Air Canada entre Paris et Montréal).
Beaucoup de choix sont disponibles afin de correspondre à bon nombre de goûts, dans de nombreuses langues dont le français.
Un casque de bonne qualité est également distribué.
Notre vol décollait à 16h30, ce qui allait nous offrir de belles vue du coucher du soleil sur Nice.
Alexandra profite pour jeter un dernier coup d’oeil sur la Côte d’Azur que nous ne verrons pas avant au moins 6 mois. C’est parti pour la suite de notre mini-tour du monde avec des miles aéroplan en famille !
Avant le décollage, un petit apéritif est servi (alcoolisé ou non).
Peu de temps après le décollage, un repas complet nous a été servi. Là aussi, nous sommes plutôt au niveau d’un vol long-courrier qu’un moyen-courrier européen.
Le service offert par le personnel de Turkish Airlines est remarquable. Nous avons chacun pris un plat différent:
Après un passage au dessus de la ville brillant de mille feux, nous atterrissons sans encombre à l’Aéroport d’Istanbul.
Nous devrons descendre sur le tarmac, le transfert se fera par bus.
Les passagers en classe affaires ont leur propre bus ce qui permet d’atteindre rapidement la zone de transit.
Un vol sans encombre entre Nice et Istanbul avec une classe affaires moyen-courrier digne d’un vol long-courrier. Bravo Turkish Airlines pour ce sans-faute.
Rendez-vous à présent au salon CIP Turkish Airlines de l’Aéroport d’Istanbul pour notre correspondance de 5h00.
Les économies, c’est par ici :