Voici une nouvelle qui donne un bon espoir en l’avenir, et notamment dans les progrès réalisés par les compagnies aériennes pour réduire l’impact environnemental.
Aujourd’hui, un vol entre Paris et Montréal a été effectué avec un Airbus A350-900 d’Air France, avitaillé avec du carburant aérien durable (SAF – Sustainable Aviation Fuel).
Concrètement, 16 % du carburant était composé de SAF, ce qui permet d’éviter l’émission de 20 tonnes de Co2.
Avec ce vol, il y a eu deux autres premières marquantes:
Air France est pionnière en la matière: c’est en effet la première compagnie aérienne à avoir intégré dans son équipe un Directeur du Développement durable et des nouvelles mobilités. Il s’agit de Vincent Etchebehere… qui était auparavant Directeur Général d’Air France Canada.
Le choix de Montréal pour cette première est ainsi une suite logique:
Le Canada avait d’ailleurs était choisi comme destination de lancement pour l’A350-900 à l’international entre Paris (CDG) et Toronto (YYZ). Un vol que j’ai eu l’occasion de tester en Classe Affaires.
Air France s’est engagée à réduire d’ici 2030 ses émissions de Co2 de 50 % au passager/km par rapport à 2005. Il faut dire que la législation française prévoit aujourd’hui l’incorporation de 1 % de biocarburant sur tous les vols au départ de la France à partir de 2022.
Le Groupe Air France-KLM, est engagé de longue date dans la réduction de son empreinte environnementale. Les carburants aériens durables constituent, avec le renouvellement de notre flotte, le principal levier accessible à moyen terme pour réduire de moitié nos émissions de CO2 par passager/km d’ici à 2030. Ils sont donc au cœur de notre démarche, aux côtés de l’éco-pilotage et de la neutralité carbone de nos opérations au sol. La France a aujourd’hui l’opportunité de se positionner en tant que leader dans la production et l’utilisation de carburants durables et nous mettons tout en œuvre pour y contribuer aux côtés de nos partenaires. Faire émerger une filière française économiquement viable pour l’ensemble des acteurs est une priorité stratégique pour le pays et pour le groupe. Benjamin Smith, Directeur Général d'Air France-KLM
Le Groupe Air France-KLM, est engagé de longue date dans la réduction de son empreinte environnementale. Les carburants aériens durables constituent, avec le renouvellement de notre flotte, le principal levier accessible à moyen terme pour réduire de moitié nos émissions de CO2 par passager/km d’ici à 2030. Ils sont donc au cœur de notre démarche, aux côtés de l’éco-pilotage et de la neutralité carbone de nos opérations au sol. La France a aujourd’hui l’opportunité de se positionner en tant que leader dans la production et l’utilisation de carburants durables et nous mettons tout en œuvre pour y contribuer aux côtés de nos partenaires. Faire émerger une filière française économiquement viable pour l’ensemble des acteurs est une priorité stratégique pour le pays et pour le groupe.
Benjamin Smith, Directeur Général d'Air France-KLM
Parallèlement à cela, Airbus mène en ce moment une série de tests afin de certifier en vol les avions de ligne avec 100 % de biocarburant aérien durable dans les prochaines décennies.
Les carburants durables sont un levier majeur pour atteindre nos objectifs de décarbonation du secteur aérien, et Airbus soutient toutes les initiatives qui concourent à leur développement et leur utilisation sur les vols commerciaux. Une action coordonnée de tous les acteurs est nécessaire afin d’augmenter la part de ces carburants durables qui peuvent dès aujourd’hui être utilisés à hauteur de 50% sur nos avions, sans aucune modification ou impact opérationnel, et réduisant d’autant leur empreinte environnementale. Guillaume Faury, CEO d'Airbus
Les carburants durables sont un levier majeur pour atteindre nos objectifs de décarbonation du secteur aérien, et Airbus soutient toutes les initiatives qui concourent à leur développement et leur utilisation sur les vols commerciaux. Une action coordonnée de tous les acteurs est nécessaire afin d’augmenter la part de ces carburants durables qui peuvent dès aujourd’hui être utilisés à hauteur de 50% sur nos avions, sans aucune modification ou impact opérationnel, et réduisant d’autant leur empreinte environnementale.
Guillaume Faury, CEO d'Airbus
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